Ici la rigueur scientifique est froissée, mais la curiosité à ce propos fait apparaître des questions d'ordre scientifique. On évitera de tomber dans le piège millénariste: des sectes vivent de la peur de la fin du monde.
Le soleil connaît des périodes cycliques d'éruption solaire.
(11 ans en moyenne). A-t-il d'autres périodes ou cycles plus violents,
d'un point de vue énergétique ou magnétique ? Est-ce un
astre perturbateur, étoile à Neutron, magnétars,
planète inconnue à fort champ magnétique, qui pourrait
perturber la Terre et le Soleil.
Pour l'observation du soleil , 2 satellites importants: ULYSSE
etSOHO dont on a perdu le contact pendant un moment. Depuis SOHO
n'a pas retrouvé toutes ses fonctions.
Le champ magnétique terrestre s'inverse environ tous les
500 000 ans, d'après l'étude des effets magnétiques
sur les roches sous-marine du rift Atlantique, la dernière
inversion date d'environ 700 000 ans, on est en retard sur le
cycle !
Que se passe-t-il si on imagine, pour des raisons inconnues, une
inversion du champ magnétique solaire ? A-t-il une influence
sur l'axe de la terre ?
La proximité d'un corps céleste magnétique
très puissant pourrait perturber la terre ? Des calculs
ont été faits sur les conséquences d'un impact
de météore avec la terre, il serait intéressant
de faire la même chose avec un astre magnétique puissant,
mais les connaissances du coeur ferreux de la Terre sont-elles
suffisantes ?
Le terre basculerait-t-elle sur son axe, ou seulement le champ magnétique.
Est-ce le noyau ferreux magnétisé qui tournerait à l'intérieur
de la terre ?
Actuellement on assiste à une accélération du déplacement
du pôle Nord magnétique. (Voir l'article http://ataraxie.free.fr/Archives/250202.htm)
La friction avec les couches supérieures pourrait-il
avoir pour conséquence des tremblements de terre de grande
intensité, et un volcanisme intense ?
A ce propos peut-on donner une explication au gigantesque épanchement
de lave de la plaque indienne, qui a eu lieu presque à
la même époque (-65 Ma) que l'extinction des dinosaures,
et dont on sait maintenant qu'un météore tombé
au Yucatan (Mexique) est la cause.
Certains ont avancé un effet de transmission de l'onde
de choc sismique par l'impact du météore, car presque
situé aux antipodes du Yucatan avec l'hypothèse
que le météore tombe quasi-verticalement. L'onde
arrivant de l'autre côté a fait monter la pression
des roches souterraines libérant une quantité fantastique
de lave aux points de faiblesses.
On peut ajouter, même si ceci n'est pas valable sur le plan scientifique:
1) Les multiples indices dans les religions et prophéties:
- Edgar Cayce. (Inversion des pôles de la terre)
- Nostradamus (On peut trouver autant d'interprétation
que de lecteurs, pour ma part certaines phrases telles que "Le
soleil en exaltation" restent intéressantes)
- La Bible (L'apocalypse)
- Le Coran (Les montagnes seront retournées) <->
Inversion
- Les prophéties des Papes de Malachie: Une devise attribuée à chaque Pape. Voir un extrait d'ouvrage consacré de Pierre Jovanovic
- Dans les textes sumériens on trouve effectivement ce thème d'une
planète massive, avec une période de 3600 ans ( Mardouk du nom
d'un dieu et roi ).
- A voir aussi l'adoration du soleil pour les Mayas (On arrive à la fin
d'un cycle), Egyptiens, etc...
2) L'interêt d'avoir des armes surpuissantes:
- Le programme IDS est toujours actif, et il n'a pas été conçu
dans un but de ruine économique de la puissance soviétique comme
il a été souvent dit, leur programme équivalent n'a pas
à rougir, voir les travaux de Sakharov Andrei
sur les canons à plasma ou électromagnétique
- On poursuit les essais nucléaires souterrains et les simulations nucléaires,
certains parlent d'utilisation de bombes nucléaires qui serviraient d'allumettes
pour des bombes bien plus puissantes, des bombes à “plasma”,
ou à antimatière.
Si ces bombes existent, pourquoi ? Les armes nucléaires suffisent largement
pour un grand massacre ? Un programme aussi ambitieux peut servir à détruire
des objets extraterrestres apocalyptiques comme par exemple les météores
géant ou les comètes.
3) La détection par le satellite infrarouge IRAS d'un astre
inconnu et proche en 1983
Mise en ligne d'un extrait paru en 1984 dans le revue Science et Vie à
propos de cette détection (télécharger
ici l'article 2,6 Mo au format PDF)
On peut citer quelques passages:
(...)
Reste l'affaire du corps céleste inconnu découvert par Iras Où
se trouve-t-il ? Là réside un aspect fondamental de la question:
les
Américains ne le disent pas ou pas encore, peut-être parce qu'ils
n'ont pas vérifié leurs calculs et qu'ils ne veulent pas se
déconsidérer par des déclarations hâtives. "On
dit", pour le moment, que ce corps céleste se trouverait à
80 milliards de km de la Terre,
"quelque part" dans le Sagittaire, au bord occidental de la constellation
d'Orion. Or c'est là, astronomiquement parlant, une
distance assez courte, Pluton étant à un peu moins de 6 milliards
de km. A première vue, ce corps céleste est un peu trop loin pour
appartenir au système solaire mais un peu trop près pour appartenir
à un autre système.
Quelle taille a-t-il? Probablement celle de Jupiter. Et qu'est-ce que c'est
? Sa température ne permet pas de le dire: à - 268,5 °C, soit
4,5° au dessus du zéro absolu, ce n'est en tous cas pas le territoire
d'E.T. : trop froid. On a d'abord pensé que c'était une comète,
mais
Iras, qui l'a observé à 6 mois d'intervalle, n'a pas relevé
de mouvements cohérents avec une orbite de comète! Ce corps mystérieux
ne
bouge guère. Neugebauer, déjà cité tend à
y voir une jeune galaxie en formation, entourée de poussières,
mais le Dr James Houck, du Cornell University Center for Radio Physics and Space
Research et membre de
l'équipe d'Iras, donne sa langue au chat: « Si cet objet est si
proche, dit-il, je ne vois pas comment les savants pourraient même commencer
à le classer. »
Donc, ce corps céleste est pour le moment un véritable OCNI (Objet
céleste non identifié).
(...)
4) Les témoignages des apparitions de la Vierge Marie:
- Je ne peux que vous recommander de lire l'ouvrage de Pierre Jovanovic dont des extraits sont disponibles sur son site: http://www.jovanovic.com/ dont le titre est "Notre Dame de l'Apocalypse", il y fait mention de messages nous alertant d'un cataclysme de type "feu dans le ciel" , "moteurs arrêtés" précédé d'un grand signe dans le ciel comme "deux soleils qui explosent". L'auteur attristé penche pour une tempête solaire de type extrême mais je vous recommande de lire ses arguments.
Bien sûr tout ce qui vient de se dire est très peu ou pas vérifiable, mais parfois sur mille rumeurs, une seule se confirme, doit-on pour cela sacrifier la recherche de la vérité parceque bien souvent c'est de la spéculation et des hypothèses ?
Le sujet est plutôt vaste, je ne peux pas tout chercher. Toutes informations à caractère scientifique ou pas seront les bienvenues.
Voici l'analyse d'une personne dont je conserverai l'anonymat:
"Un astre doté d'un puissant champ magnétique, passant à
proximité de la Terre, pourrait créer des courants induits dans
le magma terrestre, dont des forces J x B (de Laplace). Plusieurs effets : communication
à la partie la plus conductrice de la Terre (son noyau de fer fondu),
d'un moment cinétique altérant son propre moment de rotation.Celui-ci
pouvant se transmettre ensuite plus lentement au "manteau" et à
la croûte. D'où un possible "basculement des pôles",
mais "à retardement". De toute manière, ça expliquerait
les bizarreries du paléomagnétisme. La combinaison des effets
de marée et de l'action interne sur le noyau pourrait créer des
effets cataclysmiques capables de faire disparaître un continent (le continent
de mu ou... l'Atlantide), plus abondances de tremblements de Terre, d'éruptions
volcaniques, etc...
Avec un effet plus "faible" : un bon déluge (effet
de marée océane), ou les eaux de la Mer Rouge qui
se retirent, etc...
(...)
La première chose est que le système solaire peut
très bien s'être doté d'une planète
baladeuse, peu de temps après sa formation. Une formation
qu'on imagine maintenant assez rapide (peut être dix millions
d'années).
Le soleil se forme, puis les planètes. Il n'est pas du
tout dit que celles ci se forment "dans un disque d'accrétion".
Les deux idées sont également soutenables. Mais
les effets de marée (interactions entre ces jeune planètes
et le soleil, qu'elles déforment), créent des effets
de marée qui tendent :
- A constituer le plan de l'écliptique
- A circulariser les orbites.
Ce faisant, cela empêche au passage les planètes
de se rencontrer. Non seulement de se percuter, mais aussi d'interagir
gravitationnellement de manière excessive. Bref cela fournit
un système assez stable.
Comme montré par --- Mr X --- les orbites tendent alors
à suivre sa "loi dorée".
Dans son analyse il note certaines discordances avec la loi dorée
(dont la terre d'ailleurs). Il y a aussi des singularités
notables, comme l'inclinaison de presque 90° de l'axe d'Uranus,
je crois, par rapport à l'écliptique.
Je subodore personnellement que ceci pourrait constituer les traces
d'une partie de billard passée (quand ? là est le
problème).
(...)
--- Mr X --- est sceptique sur le fait que le système solaire
ait pu cohabiter avec cet astre perturbateur pendant des milliards
d'années. Il aurait alors traversé au moins mille
fois le système solaire. Aurait-il pu le faire sans déranger
sa belle ordonnance. Non dit --- Mr X ---, qui admet qu'il s'agit
d'une opinion et que des calculs seraient à faire.
Revenons au proto système solaire. Il y a deux effets
antagonistes :
- Les interaction binaires entre planètes (encounters)
qui dévient leurs trajectoires et tendent à les
maintenir à l'état d'essaim sphéroïdal.
- Les interactions avec le soleil (effets de marée) qui
tendent à circulariser les orbites et à les amener
dans un plan commun
(écliptique).
De même que ces effets de marée amènent l'axe
de rotation du soleil selon la perpendiculaire à ce plan
(enfin... les spins s'alignent).
Le fait que les planètes soient dans un plan prouve
que le second effet a pris le pas sur le premier. Mais il est
possible qu'une interaction binaire, dans le tout début,
entre une planète faisant dix ou vingt fois la masse de
la terre et, par exemple, Jupiter, ait expédié cette
planète sur une orbite elliptique à forte excentricité.
Elle est alors "hors jeu" et se comporte comme une comète.
La vitesse d'orbitation circulaire de la Terre, autour du soleil,
est, sauf erreur, d'environ 28 km/s.
Donc la vitesse de libération est de 28 km/s (rapport racine
de deux).
Donc cette planète ne peut pas pénétrer dans
le système solaire à une vitesse supérieure
à 28 km/s. Ce qui signifie qu'elle passe "le plus
clair de son temps" à grande distance. Elle est "dans
le système solaire" en gros le milième de son
temps.
--- Mr X --- pense qu'en ayant pénétré dans
ce système un millier de fois il aurait du perturber l'agencement
des orbites. Mais je lui objecte qu'il n'a pas fait ce calcul
et qu'il ne s'agit que d'un sentiment personnel.
Par contre si cette planète était en approche à
3 ans (passage proche en 2003) alors --- Mr X --- pense qu'il
devrait être déjà observable. Ce serait alors
"une grosse comète en approche".
Mais la question serait à poser à des astronomes.
Pour détecter les comètes et astéroïdes
on prend deux photos à un intervalle donné. Puis
on observe ces deux photos avec un système binoculaire.
Système qui peut procurer une impression de relief. Des
photos prises avec un décalage temporel donné représentent
deux visions du cosmos à partir de deux points différents.
Les planètes bougent. Comme on les connaît, on les
élimine. Mais le parallaxe crée pour les étoiles
un déplacement qui n'est pas détectable à
l'oeil nu, en utilisant cette méthode.
Si un objet bouge, l'observateur, à l'aide de se système
binoculaire, aura l'impression qu'il se situe dans l'avant plan,
par rapport aux
étoiles, même s'il est de faible luminosité.
C'est comme ça que les observateurs détectent comètes
et astéroïdes.
Si cette planète était en approche, ça serait
un très gros astéroïde, donc repérable
à l'aide de cette méthode. Avec une échéance
aussi
rapprochée,--- Mr X --- pense à vue de nez que les
astronomes l'auraient déjà repéré.
Ca paraît vraisemblable.
Continuons à chevaucher cette hypothèse. Supposons
qu'il existe une 12° planète à forte excentricité,
qui reviendrait tous les 3600 ans.
Supposons qu'elle puisse croiser la route de la Terre. Cela ne
signifie pas qu'il se passe automatiquement quelque chose de catastrophique,
ou simplement de notable, tous les 3600 ans.
Il y a 3600 ans les Hébreux traversait la Mer Rouge. Cette
planète a peut être alors créé une
marée suffisante dans cette Mer Rouge pour leur permettre
de passer à pied sec ? On peut toujours spéculer.
Le coup d'avant, le Déluge, pourquoi pas. Etc....
Le site ---X--- mentionne des effets électromagnétiques.
Il y aurait aussi un basculement de l'axe de la Terre, lit-on.
Est-ce réaliste en un temps aussi bref ?
Ceci étant, on est toujours aussi vague quant à
l'origine du champ terrestre. Cet "effet dynamo" ne
me convainc guère. Et on ne voit pas comment un tel système
pourrait, spontanément, inverser le sens du champ.
Par contre, le passage à proximité d'un objet doté
d'un très fort champ magnétique pourrait altérer
périodiquement le champ terrestre.
Les planètes qui ont un champ magnétique sont celles
qui ont un noyau de fer fondu. La Lune est un bloc solide. Pas
de sismicité, pas de volcanisme, pas de champ magnétique.
Pourquoi la Terre a-t-elle un magma aussi actif ? Serait-ce parce
qu'elle aurait "avalé" une planète à
une date relativement "récente", ce qui lui aurait
communiqué de l'énergie.
Comment cette planète aurait-elle pu conserver un champ
magnétique aussi intense pendant un long intervalle de
temps (des milliards d'années). Il lui faudrait avoir conservé
un magma bien liquide, pendant tout ce temps.
Tout cela fonctionne comme une énigme policière.
Il y a quelque chose qui maintiendrait la température du
magma de cette planète à une valeur élevée
:
c'est le fort effet de marée qu'il pourrait subir en passant
assez près du soleil (plus près que Mercure). Alors,
tous les 3600 ans il aurait droit à un bon coup de chauffage.
Io a un volcanisme intense à cause de sa proximité
de Jupiter, qui y crée de fort effets de marée.
La Lune a un champ d'un micro-gauss. La Terre a 0,4 Gauss. Pourquoi
pas une planète avec un magma très chaud et un champ
de
100 teslas ?
Quel effet sur la Terre ? A chiffrer, à calculer.En dehors
de l'effet de marée, purement gravitationnel, sorte de
brassage de notre
astre, le champ magnétique produirait des courants induits
dans notre noyau de fer fondu, et des forces de nature électromagnétique.
Force qui pourraient altérer le "spin" de la
terre, incliner son axe de rotation.
A évaluer. Toujours est-il que si il y avait un effet,
ça serait sur la partie conductrice de l'électricité,
donc le noyau de fer. Pas la croute terrestre.
Le noyau aurait donc tendance à tourner par rapport au
reste, un peu comme si le noyau d'une cerise tendait à
tourner dans la cerise. L'axe de rotation correspondant à
cette "rotation induite" n'est pas nécessairement
l'axe nord-sud.
Effet : apparition de tensions dans la croute terrestre. Même
si l'effet est faible ceci peut jouer un rôle de déclencheur
de séisme et de volcanisme. Effet d'autant plus intense
qu'on se situe en un point où
le glissement tangentiel noyau-croûte est maximal. Là,
ça craint.
Par contre, les "heureux élus" qui survivraient
seraient ceux qui auraient la bonne fortune de résider
au "centres instantannés de
rotation", là où le glissement noyau central,
croûte terrestre serait nul. D'où sismicité
minmale, etc...
Si ça se passe comme ça, le message salvateur serait :
- Faites vos valises et partez de ce pas au Nicaragua, ou en Mongolie, ou etc...